une histoire vraie en 5 minutes...
En 1948, les Etats-Unis ont connu le scrutin présidentiel le plus étrange de leur histoire.
Le président Harry Truman , successeur du grand et populaire Roosevelt, n'était pas aussi présent dans le coeur des Américains. De plus, les difficultés s'accumulaient sur sa route de l'après guerre : le plan marshall,(déjà lui !!) la guerre froide, la crise de Berlin....et la situation difficile au sein de son propre parti.
Les sondages étaient implacables. Le dernier en date donnait 60% au candidat républicain Dewey contre 36% au président sortant Truman.
Le soir des élections, alors que Dewey donnait un grand bal à New York, le président Truman s'en retournait dans son cher Etat du Missouri, sans être importuné par le moindre journaliste.
A 4 heures, le lendemain matin, son secrétaire le réveillait en urgence : les résultats étaient déjà implacables : Truman ne pouvait plus être battu par son adversaire républicain.
En sortant de chez lui, il croisait des vendeurs de journaux avec une couverture tout aussi implacable :"La défaite de Harry Truman" tandis que le résultat final tombait : 49% pour Truman contre 45% pour Dewey.
Le journal De Standaard qui raconte cette histoire dans son édition de mardi, donne une explication simple à cette erreur monstrueuse des sondeurs : ceux-ci considéraient que les indécis n'iraient pas voter. Or, ce sont évidemment ceux-là qui firent la différence le jour du scrutin.
A l'heure où j'écris ces lignes, les indécis restent sans doute encore nombreux mais ils n'ont pas dit leur dernier mot.
Evidemment, je les encourage à voter ECOLO ou GROEN! . Maar zullen veel anderen in het Noorden van het land voor NVA stemmen? Dat weten we natuurlijk nog niet. Een verrassing is nog mogelijk !
Le président Harry Truman , successeur du grand et populaire Roosevelt, n'était pas aussi présent dans le coeur des Américains. De plus, les difficultés s'accumulaient sur sa route de l'après guerre : le plan marshall,(déjà lui !!) la guerre froide, la crise de Berlin....et la situation difficile au sein de son propre parti.
Les sondages étaient implacables. Le dernier en date donnait 60% au candidat républicain Dewey contre 36% au président sortant Truman.
Le soir des élections, alors que Dewey donnait un grand bal à New York, le président Truman s'en retournait dans son cher Etat du Missouri, sans être importuné par le moindre journaliste.
A 4 heures, le lendemain matin, son secrétaire le réveillait en urgence : les résultats étaient déjà implacables : Truman ne pouvait plus être battu par son adversaire républicain.
En sortant de chez lui, il croisait des vendeurs de journaux avec une couverture tout aussi implacable :"La défaite de Harry Truman" tandis que le résultat final tombait : 49% pour Truman contre 45% pour Dewey.
Le journal De Standaard qui raconte cette histoire dans son édition de mardi, donne une explication simple à cette erreur monstrueuse des sondeurs : ceux-ci considéraient que les indécis n'iraient pas voter. Or, ce sont évidemment ceux-là qui firent la différence le jour du scrutin.
A l'heure où j'écris ces lignes, les indécis restent sans doute encore nombreux mais ils n'ont pas dit leur dernier mot.
Evidemment, je les encourage à voter ECOLO ou GROEN! . Maar zullen veel anderen in het Noorden van het land voor NVA stemmen? Dat weten we natuurlijk nog niet. Een verrassing is nog mogelijk !
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