Les Grecs, c'est nous
Kennedy affirmait "ich bin ein Berliner", face à l'absurdité du mur de la honte à Berlin.
Aujourd'hui, la honte est à l'intérieur de l'Europe. Dénonçons l'attitude de nos dirigeants européens et du FMI qui enfoncent un peuple dans la misère tout en martelant les propos de Margaret Thatcher, "there is no alternative", ce qui est faux.
Les peuples européens doivent être aux côtés des Grecs pour dénoncer cette attitude absurde. Car la Grèce reste un laboratoire pour l'application d'une politique d'austérité à outrance dans toute l'Europe, voire dans le monde. Après les Grecs, d'autres peuples seront victimes de cette politique absurde.
Ce pays ne se relèvera jamais s'il ne sort pas de la spirale de l'endettement et de l'austérité sans fin. De nombreux économistes, même s'ils ne sont pas nécessairement proches de la gauche grecque, estiment que la position du FMI est incompréhensible et surtout incohérente. Il y a un an environ, le FMI admettait qu'il fallait autre chose qu'une austérité à tout prix car la recette ne marchait pas. Or, c'est ce même FMI qui a, à nouveau, durci sa position la semaine dernière lorsque les négociations avançaient entre l'Union européenne et la Grèce.
Aujourd'hui, la honte est à l'intérieur de l'Europe. Dénonçons l'attitude de nos dirigeants européens et du FMI qui enfoncent un peuple dans la misère tout en martelant les propos de Margaret Thatcher, "there is no alternative", ce qui est faux.
Les peuples européens doivent être aux côtés des Grecs pour dénoncer cette attitude absurde. Car la Grèce reste un laboratoire pour l'application d'une politique d'austérité à outrance dans toute l'Europe, voire dans le monde. Après les Grecs, d'autres peuples seront victimes de cette politique absurde.
Ce pays ne se relèvera jamais s'il ne sort pas de la spirale de l'endettement et de l'austérité sans fin. De nombreux économistes, même s'ils ne sont pas nécessairement proches de la gauche grecque, estiment que la position du FMI est incompréhensible et surtout incohérente. Il y a un an environ, le FMI admettait qu'il fallait autre chose qu'une austérité à tout prix car la recette ne marchait pas. Or, c'est ce même FMI qui a, à nouveau, durci sa position la semaine dernière lorsque les négociations avançaient entre l'Union européenne et la Grèce.
Soutenir ce fair deal, c'est dire oui à un accord raisonnable, et marquer son soutien à un peuple qui souffre
Tiens !? la démocratie à la grecque ne passionne pas les 2 bourgmestres ... aucune mention sur leurs publications FB ... absence lors des mobilisations ...
RépondreSupprimerC'est vrai que Polo doit être occupé de calculer combien coûte un tel referendum pour un pays endetté ... Il doit avoir des boutons ...
Quant au bourgmestre en titre, je suppose que vu son positionnement politique "tout mou" de compromission avec les forces (capitalistes) vives ... qui depuis 20 ans investissent en wallonie où "tout pourrait être pire" mais où rien ne va mieux ...
Cela fait 20 ans qu'il répète que tout va mieux, que la wallonie se redresse , que la wallonie rattrape son retard sur la flandre ...
Une fameuse bandes !! de progressistes conservateurs au pouvoir depuis la création de la wallonie ...
Alexis, viens nous aider en wallonie ...
Sot Krate