Allez, les filles...
C'est pas la fête des mères ni des grands-mères aujourd'hui!
Le 8 mars est un jour où toutes et tous, on s'unit pour dénoncer les inégalités, sociales notamment, qui subsistent encore entre hommes et femmes. Croyez-moi, les filles, il y a encore du boulot!
On croit que l'égalité en droit, conquise de haute lutte, par les féministes durant tout le 20e siècle, a permis l'égalité quotidienne des hommes et des femmes mais celles et ceux qui croient cela, se trompent. Il suffit de se pencher sur les statistiques de la pauvreté, notamment des femmes seules avec enfants, des pensionnées veuves et on comprend tout de suite qu'il y a toujours un fossé en matière d'égalité sociale.
Et dans la rue? Les filles qui n'osent plus sortir à cause des insultes, les femmes âgées, qui ont peur d'être agressées à tout moment.
Pour moi, c'est un vrai combat pour l'égalité : les femmes doivent oser sortir en rue le matin, le soir et la nuit également. Pour cela, il faut mettre en place une véritable politique de sécurisation des lieux publics.
Et les femmes aussi doivent participer à cette émancipation "des femmes en rue". Depuis que je suis mandataire politique, très souvent, j'ai plaidé pour une politique de sécurité qui mette l'accent sur des mesures de prévention et je continuerai à le faire.
En ce 8 mars, je plaide pour que les femmes participent à des séances de défense sans armes en rue. Ce n'est pas apprendre le kung fu, c'est apprendre comment se sentir à l'aise en rue et moins sensibles à des mouvements d'agression.
Il existe maintenant, à Tournai, des lieux où les filles de 7 à 90 ans peuvent apprendre à être sûres d'elles dans les lieux publics. Je demanderai au conseil communal que la Ville soutienne ces initiatives et que les milieux éducatifs développent aussi de telles initiatives.
Allez, les filles... le 8 mars c'est tous les jours !
Le 8 mars est un jour où toutes et tous, on s'unit pour dénoncer les inégalités, sociales notamment, qui subsistent encore entre hommes et femmes. Croyez-moi, les filles, il y a encore du boulot!
On croit que l'égalité en droit, conquise de haute lutte, par les féministes durant tout le 20e siècle, a permis l'égalité quotidienne des hommes et des femmes mais celles et ceux qui croient cela, se trompent. Il suffit de se pencher sur les statistiques de la pauvreté, notamment des femmes seules avec enfants, des pensionnées veuves et on comprend tout de suite qu'il y a toujours un fossé en matière d'égalité sociale.
Et dans la rue? Les filles qui n'osent plus sortir à cause des insultes, les femmes âgées, qui ont peur d'être agressées à tout moment.
Pour moi, c'est un vrai combat pour l'égalité : les femmes doivent oser sortir en rue le matin, le soir et la nuit également. Pour cela, il faut mettre en place une véritable politique de sécurisation des lieux publics.
Et les femmes aussi doivent participer à cette émancipation "des femmes en rue". Depuis que je suis mandataire politique, très souvent, j'ai plaidé pour une politique de sécurité qui mette l'accent sur des mesures de prévention et je continuerai à le faire.
En ce 8 mars, je plaide pour que les femmes participent à des séances de défense sans armes en rue. Ce n'est pas apprendre le kung fu, c'est apprendre comment se sentir à l'aise en rue et moins sensibles à des mouvements d'agression.
Il existe maintenant, à Tournai, des lieux où les filles de 7 à 90 ans peuvent apprendre à être sûres d'elles dans les lieux publics. Je demanderai au conseil communal que la Ville soutienne ces initiatives et que les milieux éducatifs développent aussi de telles initiatives.
Allez, les filles... le 8 mars c'est tous les jours !
Commentaires
Enregistrer un commentaire