Un dimanche pas comme les autres
Demain, j’enfilerai mon gilet vert (sous mon parapluie vert ) pour arpenter les rues de Bruxelles,
parce que nous n'avons qu'une planète.
Aujourd’hui, plus que jamais, il est indispensable d’exiger des améliorations sociales et écologiques et non de les opposer.
Ceux et celles qui utilisent la colère des « gilets jaunes » pour faire reculer la conscience écologique seront responsables du futur chaotique laissé à nos enfants et petits enfants.
Les premières victimes des changements climatiques vivent souvent dans le Sud, et n’ont pas les moyens de partir pour se mettre à l’abri face au désastre du climat. Mais ils quittent leur maison un jour quand ils ont tout perdu et deviennent réfugiés climatiques. Ils demanderont l'asile ailleurs comme les victimes de conflits armés ou de dictatures.
Les riches, eux, emportent leur coffre-fort là où il fait bon vivre. Si une île paradisiaque disparaît de la carte du monde, il déménageront simplement leur coffre-fort dans dans un lieu plus accueillant pour eux et leur argent.
Non, sur terre, nous n’avons pas les mêmes chances face à la montée des eaux ou à l'escalade des prix des denrées et des services.
Ces deux fléaux touchent toujours les moins nantis et épargnent ceux qui accumulent de manière indécente toutes les richesses du monde.
En marchant sous la pluie dimanche, je serai proche de ceux et celles qui sont touchés par la précarité ici et ailleurs sur notre planète.
En marchant sous la pluie dimanche, je penserai à ceux et celles qui abandonnent leur maison détruite par les méfaits du climat ou de la pollution.
En marchant sous la pluie dimanche, je demanderai aux dirigeants du monde de tout faire pour préserver notre planète pour mes petits-enfants et tous les enfants du monde.
En marchant sous la pluie dimanche, je veux faire prendre conscience à ceux qui vivent au-dessus du seuil indécent de la richesse, qu'il n'y a qu'une planète à partager, qu'il est urgent qu'ils changent leur comportement égoïste pour que nous puissions tous avoir une petite place au soleil.
parce que nous n'avons qu'une planète.
Aujourd’hui, plus que jamais, il est indispensable d’exiger des améliorations sociales et écologiques et non de les opposer.
Ceux et celles qui utilisent la colère des « gilets jaunes » pour faire reculer la conscience écologique seront responsables du futur chaotique laissé à nos enfants et petits enfants.
Les premières victimes des changements climatiques vivent souvent dans le Sud, et n’ont pas les moyens de partir pour se mettre à l’abri face au désastre du climat. Mais ils quittent leur maison un jour quand ils ont tout perdu et deviennent réfugiés climatiques. Ils demanderont l'asile ailleurs comme les victimes de conflits armés ou de dictatures.
Les riches, eux, emportent leur coffre-fort là où il fait bon vivre. Si une île paradisiaque disparaît de la carte du monde, il déménageront simplement leur coffre-fort dans dans un lieu plus accueillant pour eux et leur argent.
Non, sur terre, nous n’avons pas les mêmes chances face à la montée des eaux ou à l'escalade des prix des denrées et des services.
Ces deux fléaux touchent toujours les moins nantis et épargnent ceux qui accumulent de manière indécente toutes les richesses du monde.
En marchant sous la pluie dimanche, je serai proche de ceux et celles qui sont touchés par la précarité ici et ailleurs sur notre planète.
En marchant sous la pluie dimanche, je penserai à ceux et celles qui abandonnent leur maison détruite par les méfaits du climat ou de la pollution.
En marchant sous la pluie dimanche, je demanderai aux dirigeants du monde de tout faire pour préserver notre planète pour mes petits-enfants et tous les enfants du monde.
En marchant sous la pluie dimanche, je veux faire prendre conscience à ceux qui vivent au-dessus du seuil indécent de la richesse, qu'il n'y a qu'une planète à partager, qu'il est urgent qu'ils changent leur comportement égoïste pour que nous puissions tous avoir une petite place au soleil.
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